Freddy Pannecocke peint les quartiers surpeuplés des villes qui l'accueillent, là où les habitants semblent perdre leur individualité dans la masse urbaine. La figure humaine disparaît dans ces vues cartographiques marquées par l'urbanisation labyrinthique, tourbillons chaotiques de lignes et de formes. Les techniques sont proches de l'abstraction gestuelle. La peinture coule comme des larmes, évoquant ainsi une atmosphère de déshumanisation, de souffrance, voire de détresse ou d'aliénation des citadins.Il capture l’essence de la ville contemporaine, marquée trop souvent par la surpopulation, la perte d’identité individuelle, et la pression urbaine.